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Vous avez décidé de vous offrir le meilleur appareil photo hybride en vidéo 4k ? Vous ne pouviez pas tomber mieux.

Il fût un temps où le reflex faisait la loi. C’était l’étape obligatoire après un compact ou un smartphone. Pendant de nombreuses années ; des marques telles que Canon et Nikon ont dominé ce marché.

Mais avec l’arrivée des appareils photo hybrides, les choses ont commencé à changer. Ils sont plus petits et plus léger, mais capables de choses étonnantes. Une vraie alternative aux reflex numériques trop gros et trop encombrants.

 Le seul bémol était que les hybrides d’entrée de gamme étaient dépourvus de viseur optique. Autrement dit, il fallait composer l’image à l’aide de l’écran arrière, tout comme vous l’auriez fait avec un appareil photo compact ou un smartphone.

L’arrivée des appareils photos hybrides n’a pas causé la chute des reflex numériques – du moins, pas encore. Beaucoup de photographes sont encore hostiles à l’absence de viseur optique ainsi qu’au système Micro 4/3(MFT), qui autorise des objectifs plus petits et donc des appareils photos plus petits.

Vu que les reflex numériques ont dominé le marché pendant de nombreuses années, leurs utilisateurs disposent d’un large éventail de choix d’objectifs. Cependant, les hybrides progressent rapidement dans ce domaine, en partie grâce au système Micro 4/3  créé par Olympus et Panasonic qui dispose d’un parc optique de plus de 50 objectifs.

Depuis lors, les appareils photo reflex ne cessent de s’améliorer. Mais là où ils font vraiment la différence par rapport aux reflex numérique c’est dans la vidéo 4k.

Pensez également à jeter un coup d’œil à notre article sur les meilleurs appareils photo hybride pour professionnel.

Voici neuf des meilleurs appareils photos hybrides 4 K sur le marché :

Fujifilm X-T4

Fuji X-T5 : L'hybride 4k ultime

Le X-T5 est loin d’être un appareil photo parfait (aucun appareil photo ne le sera jamais), mais il ne fait aucun doute que c’est l’un des meilleurs appareils photo hybrides 4k pour les cinéastes disposant d’un petit budget.

Comme la plupart des appareils photo hybrides les plus récents, le Fuji X-T5 est capable d’enregistrer en 4K en interne. Même si la 4k n’est pas tout, c’est une fonctionnalité qu’il est toujours bon d’avoir, et qu’on s’attend normalement à trouver sur un appareil photo contemporain.

Sur le X-T5, l’enregistrement 4k se fait en UHD (et non en DCI), ce qui veut dire que la résolution est de 3840 x 2160, ou 16:9. Il est capable d’enregistrer des séquences jusqu’en 4K DCI à 30 images par seconde à un débit de 400 Mb/s, le tout en 4:2:0 10 bits en interne

En 1080p, la caméra utilise le même débit de 100 Mbps, mais peut enregistrer jusqu’à 60p, ce qui est absolument fantastique en ralenti. Voici un petit extrait d’une vidéo du X-T5.

En 720p, vous disposez des mêmes options d’enregistrement qu’en 1080p, même si l’appareil enregistre à un débit inférieur à 50 Mbps.

Il n’y a pas d’option ultra slow motion en 720p, donc la seule raison d’enregistrer en 720p est si vous avez désespérément besoin d’espace pour vos cartes.

Pour ce qui est de l’autonomie ; dans les conditions normales de prise de vue –il est possible d’enregistrer en 4k en éteignant l’appareil entre les prises de vues et les réglages- d’obtenir une autonomie de 2 heures avec la batterie de la série Fuji. C’est un plus que ce que vous avez avec  l’A7S II, mais beaucoup moins qu’avec le GH5

Voici quelques prises de vues effectuées à l’aide du X-T5. Ces prises de vue étaient un mélange de 4K et 1080p (toutes enregistrées en interne), et la plupart ont été prises avec les modes d’émulation Classic Chrome ou Astia Soft film.

Les couleurs du X-T5 sont vraiment filmogènes, et les simulations de film intégrées (profils d’image) ouvrent beaucoup de possibilités créatives.

fujifilm x t2

Mes profils préférés sont Classic Chrome et Astia, qui sont tous les deux très malléables et très  efficaces pour les portraits, les paysages et un nombre illimité de scènes.

Le X-T5 est capable d’enregistrer dans l’espace couleur grâce au réglage F-Log, mais il ne peut le faire que via HDMI vers un enregistreur externe. Je ne suis pas sûr que cela change à l’avenir avec une mise à jour du firmware, mais je ne suis pas non plus très surpris que Fuji ait choisi d’aller dans cette direction.

En interne, le X-T5  se « contente » de la 6,2K, 30 i/s et 4:2:2 10 bits avec un débit maximal en interne de 360 Mb/s. Ce qui devrait toutefois satisfaire à de nombreux vidéastes.

L’enregistrement du log à un usage externe, puisque le X-T5 peut émettre un signal 10 bit 4:2:2:2 qui est beaucoup plus approprié pour l’enregistrement du log.

Je recommande fortement le X-T5 à tout cinéaste averti qui travaille sur des films, des publicités ou d’autres contenus scénarisés- en particulier ceux qui ont besoin de garder une petite empreinte.

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L’une des critiques formulées à l’encontre des appareils photo micro 4/3  est que le capteur ne capture pas autant d’informations qu’un plein format. Malgré cela, Olympus persiste dans sa gamme micro 4/3 avec l’avènement de l’E – M1 Mark III.

Même s’il utilise un capteur moins puissant qu’un plein format, Olympus a trouvé des moyens de contourner cette limite. Avec 4.000.000 de pixels supplémentaires ajoutés au capteur, la résolution de la caméra passe de 16MP à 20MP. 

Les améliorations ne s’arrêtent pas là : l’E-M1 Mark III dispose de 40 points autofocus de plus que l’E-M1, d’une nouvelle batterie, d’un nouveau processeur d’image et peut enregistrer des vidéos 4K.

L’appareil dispose également de 121 points de détection de phase AF de type croisé. De l’autre côté, l’A6500 de Sony en a 425 tandis que le X-T2 de Fujifilm en a 169. Cependant, Olympus affirme que le nouveau système autofocus de l’E-M1 Mark III a été conçu pour assurer un meilleur suivi du sujet.

C’est en basse lumière que les limites du capteur se font le plus ressentir. Ce type de capteur est petit et ne parvient pas à absorber suffisamment d’informations dans des environnements mal éclairés. Toutefois, Olympus compense cette insuffisance avec une stabilisation 5 axes intégrée dans le boîtier.

L’E-M1 Mark III est le premier appareil photo d’Olympus à offrir la vidéo 4K UHD à 30, 25 et 24 ips. C’est aussi le premier à offrir la Cinéma 4K capable de capturer des images de 4096 x 2060 pixels à un débit binaire allant jusqu’à 237 mbps.

L’autre caractéristique intéressante de l’E-M1 Mark III est sa construction. Fabriqué en alliage de magnésium, l’appareil est résistant malgré sa petite taille. L’appareil photo est également tropicalisé, ce qui en fait un compagnon idéal, quelles que soient les conditions météorologiques.

Le marché des appareils photo micro 4/3 continue de prendre de l’ampleur. Ces appareils compacts sans miroir avec objectifs interchangeables sont très appréciés des amateurs de photographie qui recherchent un appareil photo de haute qualité, plus petit et plus facile à gérer qu’un reflex numérique.

Les prix des appareils photo Micro 4/3 sont souvent au nord vers 1 000 € mais la toute dernière entrée de Panasonic se situe bien en dessous de cette norme. Le Panasonic Lumix coûte à peine 500 €  pour un appareil photo et un objectif intégré.

Le GX85 est un mélange d’un peu du grand Lumix GX8 et d’un peu du Lumix G7. Mais en plus, il possède des caractéristiques que vous ne trouverez sur aucune de ces deux versions. En outre, le GX85 est beaucoup plus compact et est équipé du système de stabilisation le plus puissant de tous les appareils Lumix.

Le GX85 est un appareil photo débordant de fonctionnalités 4k. Il enregistre des vidéos 4K à 24 et 30 images/seconde, et il utilise également sa vidéo 4K en photo.  

Vous pouvez utiliser un mode « 4K burst » pour capturer 30 images par seconde à une résolution de 8 mégapixels, un mode tampon 4K qui enregistre 30 images avant et après la prise de vue, et un mode qui permet d’extraire une vidéo HD d’un enregistrement 4K sans recadrage.    

Le mode photo 4K offre également la nouvelle fonction Post Focus de Panasonic, qui vous permet de préciser la mise au point après avoir pris une photo, en appuyant simplement sur l’écran, et il ajoute une nouvelle fonction de composition.

L’appareil photo combine plusieurs images en une seule image finale, en utilisant les pixels les plus lumineux pour chacun. Cela devrait être idéal pour les photos en basse lumière et à contraste élevé, comme les feux d’artifice.

L’A7R V est est le second boîtier Sony à passer le cap de la 8K UHD ; une fonctionnalité que de nombreux propriétaires d’a7S, dont moi-même, aimeraient bien avoir. C’est trop beau pour être vrai.

Un enregistrement interne 4K (3840 x 2160) en mode plein format et Super 35, un gamma S-Log2, une stabilisation du capteur jusqu’à 8 stops intégré au boîtier et la promesse d’une bonne performance en basse lumière malgré son capteur 42MP.

Si l’A7R V n’est pas le premier COI de Sony à proposer l’enregistrement 8K UHD (7680 x 4320 px) pixels, il est toutefois le seul actuellement capable de capturer dans ce format directement sur carte mémoire.

Pour rappel, l’A7S filme également en UHD, mais uniquement sur un enregistreur externe. Là, il « suffit » de s’équiper d’une carte mémoire SDXC rapide (UHS-I) et en route pour la 4K télé !

Deux modes sont proposés en 4K : soit vous utilisez toute la surface du capteur avec un risque de moirage lors de l’interpolation, soit vous utilisez une portion du capteur (Super35 mm) pour limiter les artéfacts d’échantillonnage tout en réduisant le champ couvert (les effets de rolling shutter sont aussi plus visibles).

Les enregistrements sont possibles en 30/25/24 à 100 ou 60 Mbps (XAVC-S). En mode HDTV 1080, vous avez le choix entre le MP4 ou le XAVCS en 120/100/60/50/30/25 et 24p avec un débit maximal de 50 Mbps. Un double enregistrement permet d’enregistrer sur la carte en XAVCS et MP4 pour une utilisation en proxy et alléger les montages vidéo.

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Pour enregistrer de la vidéo 4K à 100 Mbps, une carte compatible UHS-I U3 est nécessaire, alors assurez-vous d’en avoir quelques-unes à portée de main. 

Vous pouvez également sortir de la vidéo 4:2:2:2 4K vers un enregistreur externe, mais la sortie HDMI n’est toujours que de 8 bits. Alors que 10 bits aurait été bien, Sony semble réserver cela pour ses caméscopes professionnels et ses caméras de cinéma, du moins pour l’instant.

Il est possible d’utiliser tous les modes d’exposition (PASM), un zoom numérique et les effets créatifs. L’ISO automatique peut aller jusqu’à 6400 ISO et il se règle pendant l’enregistrement lui-même.

L’A7R V est bien équipé pour la vidéo, avec une entrée micro stéréo et une sortie casque pour le contrôle (des VU-mètres peuvent également s’afficher).  Au niveau des assistants, vous disposez du focus peaking pour la mise au point manuelle et de zébras et d’un histogramme pour l’exposition.

Sony gâte également les vidéastes en fournissant divers profils colorimétriques avec des accès aux S-Log2 / S-Gamut pour faciliter le travail d’un étalonneur. Sony n’a pas hésité sur les moyens pour satisfaire les professionnels de la vidéo.

Le Lumix G7 est l’un des rares appareils photo dédié à monsieur tout le monde à inclure la 4k. Bon, d’accord, techniquement, c’est de l’UHD en 3 840 x 2 160 pixels et non pas de la véritable « 4K Ciné ».

Mais ne boudons pas notre plaisir, d’autant plus qu’avec le Lumix G7, vous avez droit à de l’UHD à 100 Mb/s, en 30p, 25p ou 24p, le tout en MP4. Bien sûr, vous pouvez filmer en Full HD (1 920 x 1 080 pixels) en 60p, 50p, 60i, 50i, 25p et 24p, aussi bien en AVCHD qu’en MP4.

Et, bien sûr, Panasonic oblige, vous disposez d’un mode vidéo manuel, avec modes PASM, pour contrôler vos ouvertures, vitesses, sensibilités en temps réel, avec focus peaking, zebras, réglage de la sensibilité du micro intégré (très bon au demeurant) et possibilité de créer une courbe de gestion des lumières personnalisées, comme sur le grand frère GH4.

À part une prise casque, il ne manque rien en vidéo à ce petit Lumix G7 : les images qu’il délivre sont belles, le son est propre, l’autofocus à la fois précis et progressif. Le mode AF « détection de visage » est redoutable d’efficacité et vous prendrez un immense plaisir à manipuler l’écran orientable et utiliser le tactile pour changer votre zone de mise au point.

Côté vidéo, le Sony a6400 ne manque pas d’arguments. Le codec XAVC S, qui impose l’utilisation de cartes SDXC, permet bien des choses. En Full HD, le boîtier filme jusqu’à 120 images/s en 100 Mb/s.

C’est le même débit qui s’applique pour la 4K UHD (3840 x 2160 px). Pour enregistrer dans cette définition, l’appareil utilise tous les pixels du capteur, sans regroupement, c’est-à-dire qu’il travaille avec 20 millions de pixels avant de sortir un flux de 8 millions de pixels.

 Pas mal du tout ! Cela signifie aussi qu’en 4K il n’y a pas de recadrage : les amateurs de grand-angle apprécieront. On retrouve également les Zebra, les réglages Picture Profile, les réglages de Gamma (Vidéo, photo, Cine1-4, ITU709, ITU709 [800 %], S-Log2, S-Log3), différents modes de couleur (Vidéo, Photo, Cinéma, Pro, ITU709 Matrix, Noir et blanc, S-Gamut, S-Gamut3.Cine, S-Gamut3), la saturation, etc.

C’est donc sans réelle surprise que nous pouvons louer la qualité d’image en vidéo de l’Alpha 6400, même si nous pouvons toujours déplorer le positionnement peu pratique du déclencheur vidéo et l’absence d’écran tactile qui, pour choisir la zone de mise au point, aurait quand même été bien pratique

L’Alpha 7S était le premier hybride de Sony à filmer en 4K mais nécessitait pour cela un enregistreur externe. Depuis l’Alpha 7R II, il est possible de filmer en interne, avec enregistrement direct sur la carte SD, aptitude dont a forcément hérité l’A7S III.

Ainsi la boucle est bouclée, avec plusieurs subtilités supplémentaires : un échantillonnage 4:2:2 10 bits en interne, profil S-Log 3,S-Gamut3 et S-Gamut3, exploitation de toute la largeur du capteur pour limiter le pixel bimming,

la 4K UHD peut atteindre le débit très impressionnant de 600 Mbit/s et à 60 i/s et une captation jusqu’à 120 i/s ou 240 i/s en FHD. Voilà de quoi occuper vos longues nuits d’hiver.

Cet Alpha 7S III se situant, en termes de vidéo, aux frontières du monde professionnel, nous allons nous contenter de notre grand jugement public : l’image est belle, parfaitement exposée, avec un son bien restitué grâce à des micros très discriminants.

Il est bien sûr possible de filmer en modes PASM, avec Zebra et Focus Peaking, sans oublier qu’ici, en vidéo, la stabilisation du capteur fait des merveilles, sans toutefois atteindre le niveau des stabilisateurs des Olympus OM-D.

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Vous pouvez donc jouir tranquillement de votre A7S III.

Dire que le GH6 est doué en vidéo serait un doux euphémisme : il est né pour ça, ne vit presque que pour cela, et la lecture de la longue liste de formats qu’il est capable de gérer en dit long sur ses aptitudes que nombre de caméscopes professionnels ne lui renieraient pas.

Le nombre de formats supportés par le GH6 donne le vertige… et ce n’est pas tout. Pour les plus techniciens, sachez que le GH6 permet d’enregistrer en 10 bits 4:2:2 avec un enregistreur externe — ceux-ci sont à peine disponibles sur le marché…) —, ce qui offre une qualité d’image supérieure, notamment pour les incrustations sur fond vert ou bleu.

Pour en finir avec les modes d’enregistrement, notez qu’il est possible d’enregistrer à des cadences élevées pour produire des ralentis fluides avec des modes HDTV 1080 jusqu’à 96 i/s. Sympa, mais attention, l’autofocus ne semble plus disponible dans ce mode.

Autre point à prendre en compte, le GH6 utilise la partie centrale du capteur pour la vidéo 4K, réduisant au passage l’angle de champ ; un 25 mm se transformant en 37 mm par exemple.

Sachez également qu’une carte rapide, idéalement UHS-III, est indispensable pour filmer dans les plus grandes définitions et que, quel que soit le format d’enregistrement choisi (AVCHD, MP4, MOV) et peu importe la définition retenue (du 4K au VGA), l’enregistrement est illimité. . Il est aussi possible d’effectuer un enregistrement externe sur SSD  (mais nous entrons là dans un tout autre domaine).

Mais ce petit boîtier offre en plus une belle gamme d’assistants pour la vidéo, avec notamment des zébras pour maîtriser l’exposition (en plus de l’histogramme d’exposition), un master piédestal pour jouer avec la densité du noir, une série de gammas (CineLike D, Cinelike V) pour un rendu plus cinéma, un focus peaking (pixels colorés autour des objets nets), un vumètre pour s’assurer du niveau sonore lors de l’enregistrement — en plus du casque que l’on peut brancher… naturellement —, un niveau électronique pour conserver l’horizon… horizontal. La liste est longue et il ne manque qu’un filtre de densité neutre intégré pour filmer en plein soleil avec une optique lumineuse.

L’autofocus fonctionne parfaitement en vidéo et s’avère rapide, souple et pertinent. L’écran étant tactile, vous pouvez choisir directement le sujet au doigt et effectuer un suivi du sujet même en gardant l’œil dans le viseur.

Difficile de résumer le test vidéo d’un GH6 en quelques lignes, mais les résultats obtenus sont vraiment intéressants, avec une belle dynamique et une image très fine, notamment lors d’un passage 4K vers du HDTV 1080. Bref, en vidéo, le GH6 est une véritable machine de guerre !

En plus des excellentes aptitudes vidéo déjà présentes sur les Alpha 7/Alpha 7R (excellente captation stéréo avec contrôle visuel des deux canaux, prise casque, prise micro, AVCHD Full HD, 60p, 60i, 50p, 50i, etc.), l’Alpha 7s offre de nombreux atouts supplémentaires.

Le format XAVC-S, exploitable seulement avec une carte SDXC de classe 10 (au minimum), ouvre les portes de l’enregistrement à 100p à 50 Mbps en PAL et 120p à 50 Mbps en NTSC et en 4:2:0 ; idéal pour les ralentis.

Il gère également le Time Code, le S-Log2 gamma pour peaufiner le travail en post-production et il est possible de lui adapter de quoi brancher un micro en XLR. Par contre, la 4K (3840 x 2160 pixels, 4:2:2, 8 bits) ne sera disponible qu’à l’aide d’un enregistreur externe, ce qui est bien dommage par rapport à un Panasonic Lumix GH4.

Néanmoins, pour le commun des mortels, difficile de prendre l’Alpha 7s en défaut côté vidéo. Pour les utilisateurs les plus exigeants, l’aventure continue sur Focus Numérique, avec le test exhaustif des aptitudes vidéo de l’Alpha 7s.

Conclusion

Un appareil photo hybride 4k est un excellent choix pour tous ceux qui recherchent un appareil à la fois bon en photo et en vidéo.

La liste des appareils photo hybrides 4k ci-dessus présente les meilleurs et chacun d’entre eux a quelque chose de différent à offrir, même lorsqu’ils proviennent du même fabricant. Prenez le cas de Sony par exemple.

L’A7RII convient à ceux qui recherchent des images détaillées, mais pour ceux qui veulent spécifiquement une bonne performance en basse lumière, tout en profitant de la vidéo, l’A7S II est certainement la réponse.

Il est difficile de déterminer le meilleur appareil photo 4k parce que chaque appareil offre quelque chose de différent. Choisissez un appareil photo qui offre les fonctions que vous aimeriez avoir, mais qui ne compromet pas votre style.

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