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Vous hésitez entre le Nikon Z6 et le Sony A7 III ? Vous n’êtes pas seul. Ce choix peut vite devenir un casse-tête quand chaque boîtier promet performances, qualité d’image et polyvalence. 

Pourtant, derrière les fiches techniques flatteuses se cachent des différences clés qui peuvent faire toute la différence selon VOS besoins. 

Dans cet article, on va droit au but : points forts, faiblesses, usage photo ou vidéo, fiabilité… Tout ce qu’il faut vraiment savoir pour choisir sans regret. Parce qu’un bon appareil, c’est avant tout celui qui vous correspond.

Sony a7III

sony A7 IIICet appareil photo puissant nous séduit par son incroyable qualité d'image et ses fonctionnalités impressionnantes, le tout pour un prix compétitif....

Le Meilleur Prix
Nikon Z6 Sony A7III

Capteur

BSI CMOS 24.5 Mpx, 24×36
BSI CMOS 24.2 Mpx, 24×36
Stabilisation
Oui
Oui
Viseur
Électronique
Électronique
Écran
8 cm, LCD, 2100000 points, 16/9, Multitouch
LCD, 921600 points, 3/2, Monopoint
Sensibilité (plage ISO)
100 – 51200 ISO
100 – 51200 ISO
Dimensions / Poids
100.5 x 134 x 67.5 mm / 675 g
95.6 x 126.9 x 73.7 mm / 650 g
Recadrage en 4K à 30 i/s
Non
Oui
Prix
sony A7 III

1. Ergonomie et gabarit : un match serré entre compacité et confort

Le Nikon Z6 et le Sony A7 III sont tous deux des hybrides plein format, ce qui signifie qu’ils offrent la qualité d’image des reflex professionnels… sans l’encombrement habituel. Bien qu’un peu lourds, ils restent nettement plus compacts que leurs cousins reflex. Mais alors, lequel prend l’avantage côté prise en main ?

Sur la balance, le Nikon Z6 affiche 675 g contre 650 g pour le Sony A7 III. Une différence minime — à peine 25 grammes — que vous ne sentirez probablement pas lors d’une journée de prise de vue. Ce petit écart vient en partie de leur gabarit : le Z6 est un peu plus large (134 x 100,5 x 67,5 mm) que l’A7 III (126,9 x 95,6 x 73,7 mm).

En main, cela change tout. Le Nikon Z6 offre une poignée plus marquée, plus proche de celle d’un reflex, ce qui le rend particulièrement agréable pour ceux qui ont de grandes mains ou qui viennent du monde Reflex. Mais ce confort a un prix : on perd un peu en compacité, l’un des atouts majeurs des hybrides. À vous de voir ce qui compte le plus : la prise en main rassurante ou la discrétion dans le sac photo.

2. Viseur et écran : l’avantage net du Nikon Z6

S’il y a bien un point sur lequel Sony peine à convaincre, c’est la qualité de ses viseurs électroniques. Et l’Alpha 7 III ne fait malheureusement pas exception. Son viseur OLED de 2,36 millions de points avec un grossissement de 0,78x fait le job, mais reste en retrait pour un boîtier de cette gamme. C’est un niveau qu’on attendrait plutôt sur un appareil APS-C, pas sur un hybride plein format destiné aux professionnels.

Face à lui, le Nikon Z6 frappe plus fort. Son viseur OLED affiche 3,69 millions de points avec un grossissement de 0,8x — une clarté et une définition proches de ce que propose un reflex optique. Pour les habitués du viseur traditionnel, c’est un vrai plus. L’image est nette, fluide, précise : parfait pour cadrer dans des conditions complexes ou en lumière difficile.

Nikon z6

Et ce n’est pas tout.

Côté écran LCD arrière, Nikon marque encore un point. Les deux modèles proposent un écran inclinable et tactile, oui… mais le Z6 offre un écran plus grand (3,2 pouces contre 3 pouces pour le Sony) et surtout bien plus défini : 2,1 millions de points contre à peine 0,9 million sur l’A7 III. Autrement dit, la différence se voit — et se sent — dès que vous zoomez pour vérifier la netteté ou que vous shootez en live view.

Alors posez-vous la vraie question : avez-vous besoin d’un affichage clair, précis et confortable pour travailler efficacement ? Si la réponse est oui, le Nikon Z6 vous offrira une expérience visuelle nettement supérieure.

3. Qualité d’image : deux champions au coude-à-coude

Si votre priorité, c’est une image nette, propre et fidèle, alors bonne nouvelle : que vous choisissiez le Nikon Z6 ou le Sony A7 III, vous ne serez pas déçu. Les deux boîtiers embarquent un capteur plein format rétro-éclairé (BSI) de 24 MP – 24,2 pour le Sony, 24,5 pour le Nikon – une différence purement théorique. En pratique ? Des performances quasiment identiques, notamment en basse lumière, où les deux appareils excellent.

Nikon-z6_vs_sony_a73

Ils partagent aussi une plage ISO très similaire : de 100 à 51 200 en standard, extensible jusqu’à 204 800 ISO. En clair, vous pouvez shooter dans une ruelle sombre ou à l’aube sans craindre le flou ou le bruit dès la première montée en sensibilité. Ce n’est qu’à partir de 6 400, voire 12 800 ISO, que le bruit numérique commence à s’inviter progressivement, avec une perte de détails et de saturation plus marquée au-delà de 51 200 ISO.

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Alors oui, leur définition n’atteint pas les sommets des capteurs ultra-haute résolution comme ceux du Nikon Z7 ou du Sony A7R IV. Mais posez-vous la vraie question : avez-vous vraiment besoin de 40 ou 60 mégapixels ? Pour la grande majorité des photographes – portrait, événementiel, reportage, mariage, voyage – ces 24 MP sont largement suffisants. Et ce niveau de résolution a même un avantage : une meilleure gestion de la montée en ISO et des fichiers plus légers à traiter.

Quant à la dynamique des capteurs ? Elle est excellente sur les deux modèles. Vous récupérez aisément des hautes lumières cramées ou des ombres bouchées en post-prod, sans perdre en naturel.

Bref, si la qualité d’image est votre critère numéro un, vous avez ici deux valeurs sûres. À ce niveau-là, ce n’est pas le boîtier qui fera la différence… mais ce que vous en faites.

4.Ergonomie et fonctionnalités : deux approches, un compromis à faire

Le Nikon Z6 et le Sony A7 III sont tous deux pensés pour vous simplifier la vie… mais chacun avec ses atouts et ses limites. Ce sont deux excellents outils, mais selon votre manière de travailler, l’un pourrait clairement mieux vous convenir que l’autre.

Côté Nikon Z6, la prise en main est un vrai plaisir. Sa poignée large et bien sculptée donne une sensation de solidité et de confort immédiat, surtout si vous avez l’habitude des reflex. Ajoutez à cela une interface plus fluide : les menus sont bien pensés, lisibles, et — gros avantage — totalement accessibles via l’écran tactile. Vous pouvez non seulement naviguer dans les réglages du bout des doigts, mais aussi déplacer votre point autofocus rapidement, sans vous battre avec des boutons.

Le Sony A7 III, en revanche, reste un cran en retrait sur ce point. Bien que ses menus aient été améliorés par rapport aux générations précédentes, ils restent touffus et peu intuitifs. Et si l’écran est bien tactile, il ne permet pas encore une navigation complète, ce qui freine un peu l’expérience utilisateur.

Nikon z6

Mais attention, le Sony n’a pas dit son dernier mot.

Là où il prend clairement l’avantage, c’est du côté des cartes mémoire. Le Z6 ne propose qu’un seul slot… et uniquement pour les cartes XQD. Certes, elles sont rapides et robustes, mais elles coûtent cher et sont rarement déjà présentes dans le sac d’un photographe amateur ou pro équipé en SD.

Le Sony A7 III, lui, joue la sécurité avec deux emplacements pour cartes SD, dont un compatible UHS-II. Cela signifie plus de flexibilité, et surtout une redondance précieuse pour ceux qui n’ont pas le droit à l’erreur : photographes de mariage, de sport, ou de presse, vous savez de quoi on parle.

En résumé :
– Vous cherchez confort, logique de navigation et interface moderne ? Le Nikon Z6 est fait pour vous.
– Vous exigez une sécurité maximale sur vos sauvegardes ? Le Sony A7 III marque un point décisif.

À vous de voir ce que vous êtes prêt à sacrifier… ou pas.

5. Autofocus et rafale : deux bêtes de réactivité, chacun ses forces

Quand on parle de réactivité, de précision et de vitesse, le duel entre le Nikon Z6 et le Sony A7 III devient particulièrement intéressant. Sony a beaucoup fait parler de lui ces dernières années avec ses avancées en autofocus, mais Nikon, fort de son expérience dans le reflex pro, n’a pas dit son dernier mot. Et depuis la dernière mise à jour firmware du Z6, le match est bien plus serré qu’on ne pourrait le croire.

Sur le papier, le Sony A7 III propose plus de points autofocus à détection de phase et une couverture légèrement plus large. Dans les faits ? La différence est subtile, presque imperceptible dans une utilisation réelle. Les deux boîtiers offrent une mise au point rapide, fiable et précise, y compris en basse lumière.

Les deux modèles disposent aussi de la détection des visages et de la mise au point sur les yeux. À ce jeu-là, Sony garde une petite longueur d’avance, notamment sur la vitesse de détection oculaire. Mais ne vous y trompez pas : le Nikon Z6 se défend très bien, même si sa détection d’œil est encore limitée aux humains, chiens et chats.

NIKON Z6 VS SONY A7III

Pour les amateurs d’action ou de sport, la rafale est un autre point à surveiller. Le Nikon Z6 frappe fort avec 12 images par seconde en JPEG, un rythme impressionnant pour un hybride de cette gamme. Le Sony A7 III, plus modeste, délivre entre 8,4 i/s (mode Hi) et 10,45 i/s (Hi+), que ce soit en JPEG ou RAW+JPEG. Les performances sont donc proches, mais le Z6 garde ici une courte avance.

Cela dit, ni l’un ni l’autre n’est un pur appareil de sport comme un Canon R6 Mark II ou un Sony A9. Mais pour des scènes rapides, des reportages dynamiques ou des photos de rue, ils répondront parfaitement à vos attentes.

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En résumé :
– Sony A7 III pour une détection des yeux plus rapide et une couverture AF un peu plus étendue.
– Nikon Z6 pour une rafale plus rapide et des performances globales très solides depuis sa mise à jour.

Autrement dit : deux champions de la réactivité, à choisir selon vos priorités.

6. Autonomie : un point crucial où le Sony A7 III surclasse le Nikon Z6

Ce n’est peut-être pas le critère qui saute aux yeux en premier… mais quand on passe des heures sur le terrain, l’autonomie devient vite un facteur décisif. Et sur ce point, le Sony A7 III l’emporte haut la main.

Équipé de la batterie NP-FZ100 de 2 280 mAh, le Sony vous permet de capturer jusqu’à 710 photos avec l’écran LCD, et 610 avec le viseur. C’est tout simplement l’un des meilleurs scores de sa catégorie parmi les hybrides plein format.

Le Nikon Z6, lui, affiche des chiffres nettement plus modestes : environ 380 photos via l’écran, et seulement 310 avec le viseur. Et dans la vraie vie, ces chiffres ne mentent pas. Si vous shootez en reportage, en voyage ou en extérieur toute la journée, devoir jongler avec plusieurs batteries devient vite pénible — voire stressant.

Parce qu’on ne pense pas toujours à recharger toutes ses batteries. Parce qu’on oublie parfois une batterie de secours. Parce que recharger en plein shooting, sous la pluie ou dans le froid, c’est un cauchemar. Et parce que racheter deux ou trois batteries officielles, ça coûte cher — et c’est rarement prévu dans le budget initial.

En clair :
– Vous voulez la tranquillité d’esprit et shooter toute la journée sans vous soucier du niveau de batterie ? Le Sony A7 III est le choix évident.
– Vous optez pour le Nikon Z6 ? Prévoyez dès le départ un ou deux accus supplémentaires… et ajoutez-les à votre budget.

C’est un détail qu’on sous-estime — jusqu’à ce qu’il nous gâche une prise de vue.

7.Vidéo : deux machines taillées pour les créateurs de contenu

Si vous êtes vidéaste — ou photographe qui flirte de plus en plus avec la vidéo —, le Nikon Z6 et le Sony A7 III sont deux excellents choix dans le monde des hybrides plein format. Et à ce niveau de prix, rares sont les boîtiers qui offrent autant de possibilités.

Les deux modèles filment en 4K à 30 images par seconde, avec une qualité d’image sérieuse et des profils qui permettent une bonne latitude en post-production. Le Nikon Z6 se distingue ici légèrement en utilisant toute la largeur de son capteur, là où le Sony A7 III applique un recadrage d’environ 1,2x. C’est un détail qui compte si vous filmez en intérieur ou que vous travaillez avec des focales fixes : chaque millimètre de champ de vision est précieux.

Ils montent également à 120 images/seconde en Full HD, idéal pour les ralentis fluides et dynamiques. Et bien sûr, vous retrouvez les indispensables : prise micro, sortie casque, et stabilisation mécanique sur 5 axes. Un vrai game changer pour les plans à main levée : pas besoin d’un gimbal à tout bout de champ pour obtenir une image stable et fluide.

Autrement dit, ces deux appareils sont pensés pour les créateurs.
– Vous filmez des interviews ? Le son est là.
– Des clips ou des vidéos lifestyle ? La fluidité aussi.
– Des scènes en mouvement ? La stabilisation vous couvre.

Verdict : à ce niveau, il n’y a pas vraiment de mauvais choix. Le Sony A7 III est une valeur sûre. Le Nikon Z6, lui, vous offre un champ un peu plus large et une approche vidéo tout aussi sérieuse. Pour les vidéastes exigeants qui veulent éviter les compromis sans exploser leur budget, ces deux boîtiers sont des alliés fiables, polyvalents, et puissants.

8. Compatibilité des objectifs : un écosystème qui peut tout changer

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Sony a7 III + Sony 35mm f/2.8 | © Jason Vinson

Quand on choisit un appareil photo, on n’achète pas juste un boîtier — on s’engage dans un écosystème. Et à ce jeu-là, il faut bien le dire : Sony part avec une longueur d’avance.

Le Sony A7 III bénéficie aujourd’hui d’un catalogue optique ultra complet. Zooms standards, focales fixes lumineuses, grands-angles, téléobjectifs professionnels… il y en a pour tous les styles, tous les usages, tous les budgets (ou presque). Et même si certaines optiques sont chères, la qualité est au rendez-vous, avec des modèles signés Sony, Sigma, Tamron, Zeiss, et d’autres encore.

Face à ça, le Nikon Z6 fait figure de challenger. Il utilise la monture Z, plus récente, et donc encore limitée en termes d’optiques disponibles. Nikon propose bien une série solide de zooms pro (24-70mm f/2.8, 70-200mm f/2.8, etc.), mais dès qu’on cherche des focales un peu plus spécifiques, l’offre se rétrécit vite. Le bon côté ? Nikon continue d’étoffer sa gamme, et les performances des objectifs Z sont généralement excellentes.

Mais Nikon a un joker : l’adaptateur FTZ, qui ouvre l’accès à l’immense parc d’optiques F (les objectifs reflex Nikon). Si vous avez déjà du matos Nikon, ou si vous êtes prêt à acheter d’occasion, c’est une vraie porte de sortie économique et qualitative. Cependant, l’autofocus n’est pas toujours aussi fluide, surtout en vidéo ou en suivi de sujet rapide.

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Et ce n’est pas fini : Sony est aujourd’hui le roi de la compatibilité croisée. Grâce à des adaptateurs bien conçus, vous pouvez monter des objectifs Canon EF, Nikon F, Sigma, etc., sur les boîtiers Sony… parfois avec de très bons résultats. Ce niveau de flexibilité est un atout énorme pour les photographes qui veulent explorer, mixer, optimiser leur budget ou recycler leur matériel.

En résumé :
– Sony A7 III = un système optique mature, riche, compatible avec presque tout.
– Nikon Z6 = un système plus jeune mais en pleine croissance, avec un bon accès aux anciennes optiques Nikon via adaptateur.

Alors posez-vous la bonne question : avez-vous besoin d’un choix d’optiques large dès maintenant, ou êtes-vous prêt à construire votre kit dans la durée ?

9. Prix et budget : une différence qui compte… ou pas

À première vue, le Nikon Z6 semble plus abordable. Au moment de rédiger ces lignes, on le trouve aux alentours de 1 300 €, boîtier nu. Si vous ajoutez l’adaptateur FTZ pour utiliser les objectifs reflex Nikon, comptez environ 40 € de plus — un petit surcoût pour beaucoup plus de flexibilité.

Le Sony A7 III, quant à lui, tourne autour de 1 500 €. La différence ? Environ 150 à 200 €. Ce n’est pas énorme, mais c’est suffisant pour faire réfléchir, surtout si vous êtes attentif à chaque euro investi dans votre matériel.

Mais attention : le prix du boîtier n’est qu’une partie de l’équation.

Côté optiques, Nikon peut être plus avantageux… à une condition : utiliser l’adaptateur FTZ. Cela vous ouvre la porte à un vaste choix d’objectifs Nikon AF-S, souvent excellents, et bien plus abordables que les optiques récentes à monture Z ou E. Si vous êtes prêt à mixer ancien et nouveau matériel, vous pouvez constituer un kit performant à moindre coût.

En revanche, si vous misez uniquement sur les objectifs Z de Nikon, l’avantage tarifaire disparaît vite. Les optiques Z sont encore peu nombreuses et leurs prix sont proches — voire équivalents — à ceux des objectifs Sony à monture E, souvent tout aussi onéreux.

En clair :
– Petit budget et prêt à utiliser l’adaptateur ? Le Nikon Z6 devient très séduisant.
– Vous préférez rester 100 % sur du natif, sans adaptateur ? Le match est à égalité, voire légèrement en faveur de Sony avec son écosystème plus complet.

Conclusion : Ne vous fiez pas uniquement au prix d’achat du boîtier. C’est le coût global du système (boîtier + optiques) qui fera la vraie différence sur votre facture… et sur votre expérience au quotidien.

Verdict final : deux excellents boîtiers, un choix à faire selon vos priorités

Nikon z6

Le Sony A7 III et le Nikon Z6 sont deux hybrides plein format puissants, polyvalents et ultra complets. Que ce soit pour la photo ou la vidéo, les deux modèles livrent une qualité d’image remarquable, un autofocus performant et des fonctions avancées dignes de boîtiers pro.

Mais si leur niveau global est très proche, chaque appareil a ses forces… et ses limites.

Le Nikon Z6 brille par sa prise en main, son interface plus intuitive, et sa compatibilité native avec les objectifs reflex Nikon via l’adaptateur FTZ — un vrai atout si vous avez déjà du matériel Nikon. C’est aussi un excellent choix pour les créateurs de contenu qui veulent une expérience utilisateur fluide. En revanche, l’absence de second slot carte mémoire pourra être rédhibitoire pour les pros qui exigent une redondance de sauvegarde (mariages, presse, sport…).

Le Sony A7 III, de son côté, séduit par la richesse de son écosystème optique, sa meilleure autonomie, sa détection de l’œil plus rapide, et son double emplacement carte SD, qui le rendent particulièrement fiable sur le terrain. C’est un boîtier pensé pour durer, avec une flexibilité exceptionnelle grâce à la compatibilité étendue avec d’autres montures via adaptateurs.

En résumé :
– Choisissez le Nikon Z6 si vous cherchez une prise en main plus agréable, une navigation claire, et que vous possédez déjà des objectifs Nikon F.
– Choisissez le Sony A7 III si vous avez besoin de redondance, d’un parc optique étendu ou si vous voulez maximiser votre autonomie.

Dans les deux cas, vous repartez avec un excellent appareil photo, capable de vous accompagner pendant de nombreuses années, que vous soyez photographe passionné ou vidéaste ambitieux. Le plus dur, finalement… c’est de choisir.

Sony a7III

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