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Le 35 mm est généralement considéré comme la meilleure focale pour la photographie de rue. Voici notre guide d’achat sur les meilleurs objectifs 35 mm pour les utilisateurs de Canon, Nikon et Sony.

Pas besoin d’un objectif complexe pour faire de jolies photos de rue. Le meilleur objectif pour la photographie de rue devrait vous permettre d’être rapide et réactif afin de répondre avec spontanéité aux événements qui surviennent dans la rue. Croyez-moi ! cela ne nécessite pas vraiment grand-chose.

Tout d’abord, il se doit d’être petit. Il est plus difficile de transporter un gros zoom toute la journée, sans compter les douleurs au niveau des épaules et du cou, ce même avec une courroie rembourrée. Un gros zoom risque également d’attirer l’attention, alors que l’idéal serait de rester le plus discret possible.

Deuxièmement, l’objectif doit avoir une focale relativement courte : grand-angle, mais pas trop. Ces deux qualités s’accordent parfaitement dans un objectif à focale fixe lumineuse de type 35 mm. C’est pourquoi on le considère généralement comme étant le meilleur objectif pour la photographie de rue.

Un grand-angle permet d’insérer une bonne partie de la scène dans le cadre, sans toutefois déformer la perspective. Un 35 mm sur un appareil photo plein format paraît tout à fait convenable ; n’oubliez pas que si vous utilisez un appareil photo APS-C, il serait préférable d’opter pour un 24 mm, qui offre une focale à peu près équivalente.

Pour ce qui est de la mise au point, de nombreux photographes de rue préfèrent des objectifs à mise au point manuelle dont la distance de mise au point est préréglée.

Il s’agit toutefois d’une attitude puriste, car la plupart des reflex numériques et des appareils photo hybrides modernes sont dotés de systèmes de mise au point automatique très performants, même en basse lumière.

objectifs qualités

petite taille, grandes performances

parfait pour les reflex numériques Canon plein format

objectif de luxe pour la photo de rue

pour la photographie de rue en tous  temps.

pour la photographie de rue sur reflex APS-C Canon .

objectif compacts pour reflex Canon APS-C .

objectif pancake  parfait pour la photographie de rue .

pour la photographie de rue à mise au point manuelle.

 fabuleux objectif 35 mm.

Rien ne vaut cet objectif sur un reflex Nikon en qualité d’image .

Compact, résistant, stabilisé et étanche, bon rapport qualité-prix.

grand et lourd, mais aussi grand en termes  de performances.

 objectif à mise au point manuelle pour la photographie de rue.

idéal pour la photographie de rue sur les boîtiers Nikon DX –

appareil polyvalent, mais  petit et léger.

la concurrence offre mieux pour moins.

le meilleur objectif de poche de Sony.

sa portabilité en fait un objectif pour les photographes Sony.

Un petit objectif qui offre une grande qualité

Un objectif fabuleux pour les appareils photo Sony

pour la photographie de rue, avec mise au point manuelle

 l’un des objectifs à focale fixe les plus polyvalents de Sony.

Les meilleurs objectifs Canon pour la photo de rue

Ce 35 mm parfait pour accompagner les appareils photo Canon EOS R et RP est le modèle le plus abordable et le plus compact.

Son système autofocus qui repose sur un moteur pas-à-pas STM ne possède pas de fenêtre affichant l’échelle des distances de mise au point ni de repères de profondeur de champ, qui sont souvent indispensables pour la “mise au point par zone” en photographie de rue.

Cependant, l’échelle des distances de mise au point, apparaît automatiquement dans le viseur de l’EOS R. L’autofocus et la mise au point manuelle fonctionnent à merveille avec le viseur électronique ou l’écran orientable.

Entre autres points forts, on peut citer une distance minimale de mise au point très faible qui permet un agrandissement de 0,5 % en macro et un système de stabilisation intégré dont Canon indique qu’il est en mesure de compenser 5 IL.

Typique des objectifs RF, la bague paramétrable permet de régler des paramètres tels que l’ouverture, la vitesse d’obturation, l’ISO et la compensation d’exposition. Elle constitue un atout supplémentaire.

La qualité de l’image est tout simplement spectaculaire. L’objectif offre un piqué très homogène, avec une résolution au centre quasi identique sur toute sa plage d’ouverture. Le vignettage légèrement perceptible à f/1,8 disparaît dès que l’on ferme le diaphragme.

L’objectif souffre d’un phénomène de distorsion en barillet qui reste assez contenu et s’avère plutôt bien corrigé par l’appareil lorsque cette fonction est activée. La fonction macro est généralement superflue pour la photographie de rue mais peut néanmoins s’avérer utile.

Petit (78 x 63 mm) et léger (335 g), ce 35 mm f/2 IS USM est parfait pour les reflex numériques plein format de Canon.

Il intègre un élément asphérique, un traitement Super Spectra, une motorisation ultrasonique USM, une échelle des distances de mise au point et des repères de profondeur de champ f/11 et f/22, ainsi qu’un stabilisateur d’image en mesure de compenser jusqu’à 4 IL. Vous bénéficiez également d’un diaphragme bien équilibré à huit lamelles pour un bokeh doux.

La bague de mise au point est confortable à utiliser malgré un léger manque de fluidité. Cependant, l’échelle des distances de mise au point est rudimentaire et inadaptée à la mise au point par zone. Malgré cela, la bague de mise au point fonctionne avec une grande précision et permet des réglages fins.

Il y a très peu de différence entre le fabuleux piqué au centre de cet objectif et celui du nouveau 35 mm RF de Canon, même si ce dernier l’emporte pour de qui est du piqué au bord du cadre.

On apprécie l’absence de distorsions, d’aberrations chromatiques et un facteur de transmission parfait. En revanche, même si cela n’est pas un réel défaut, le vignetage est bien présent, surtout aux grandes ouvertures avec un écart de plus de 1,5 Il entre le centre et les bords de l’image.

Dans l’ensemble, c’est l’objectif parfait pour les photographes de rue utilisateurs de reflex numériques plein format de Canon.

Avec une longueur de 94 mm, un diamètre de 77 mm et un poids de 655 g, ce Sigma est bien plus petit et plus léger que son concurrent à mise au point manuelle Samyang 35 mm f/1,4 AS UMC AE. Toutefois, il reste deux fois plus lourd qu’un objectif de la gamme EF et EF 35 mm de Canon.

Typique des objectifs Art de Sigma, il est doté d’un autofocus ultrasonique HSM, rapide et silencieux, avec la possibilité de passer en mode manuel.

La présence d’une échelle des distances de mise au point est un atout pour la mise au point manuelle, les repères de profondeur de champ ne sont appliqués que pour f/16, ce qui rend la mise au point par zone un peu rudimentaire.

La formule optique est relativement complexe. Elle est constituée de 13 éléments répartis en 11 groupes et intègre parmi eux une lentille FLD et quatre lentilles SLD à très faible dispersion.

La qualité de fabrication est excellente, mais l’objectif n’est pas tropicalisé. La plupart des reflex numériques Canon dispose d’une fonction de correction des aberrations chromatiques latérales, de l’éclairage périphérique et de la distorsion.

Le piqué est excellent aux ouvertures moyennes, mais il assez décevant à pleine ouverture. Dès f/2, le piqué au centre devient très bon. Et si les angles et les bords peinent à décoller, ils progressent régulièrement pour devenir vraiment très bons aux alentours de f/4-f/5,6.

L’objectif est également très performant dans la réduction des aberrations chromatiques et gère très bien la distorsion en barillet. Bien qu’imparfait, cet objectif reste néanmoins un très bon choix pour la photographie de rue

Conçue pour les reflex plein format de Canon, cet objectif à focale fixe de Tamron offre une ouverture similaire à celle du RF 35 mm que Canon a conçu pour ses appareils photo hybrides. Mais avec ses 480 g, il reste tout de même plus lourd que le 35 mm.

Contrairement au RF de Canon, le Tamron ne revendique pas de compétences en macro, mais il dispose d’une mise au point courte qui lui permet d’effectuer une mise au point beaucoup plus rapprochée que la plupart des objectifs 35 mm, jusqu’à 0,2 m au lieu des 0,3 m habituels. La conséquence, c’est un facteur de grossissement maximal plus généreux de 0,4x, ce qui n’est pas loin du 0,5x de l’objectif ” macro ” 35 mm de Canon.

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Autre similitude avec le Canon RF, le Tamron dispose d’un stabilisateur optique ou système VC (Vibration Compensation). Cependant, cette stabilisation ne compense que 3 IL et son système est plutôt simple, capable de corriger uniquement des vibrations angulaires, alors que le stabilisateur hybride de Canon est capable de contrer le décalage X-Y.

La qualité de fabrication est très bonne et, chose inhabituelle pour ce type d’objectif, il est équipé de joints d’étanchéité, ce qui constitue un avantage évident pour résister aux conditions extrêmes de prise de vue.

L’autofocus et la mise au point manuelle fonctionnent tous deux très bien, par contre l’échelle des distances de mise au point ne comporte aucune marque de profondeur de champ.

La qualité de l’image est très bonne dans l’ensemble, mais le piqué n’est pas aussi convaincant que celui des objectifs figurant plus haut dans cette liste.

Le diamètre de ce EF 24mm rappelle celui du pancake EF-S 24 mm dédié aux reflex numériques équipé d’un capteur au format APS-C, mais avec une taille et un poids deux fois plus élevés.

Malgré cela, l’optique reste relativement compacte (moins de 6 cm de long) et légère (moins de 300 grammes). Sa construction est plus conventionnelle et repose sur 11 éléments optiques plutôt que sur les six éléments utilisés sur le pancake.

Là encore, un élément asphérique est inclus et des revêtements Super Spectra sont appliqués. Autre similitude, l’ouverture est basée sur un diaphragme à 7 lames assez bien arrondi, et l’ouverture nominale est identique, f/2,8.

La différence majeure est que cet objectif dispose d’une motorisation ultrasonique USM au lieu d’un moteur pas à pas. On retrouve une échelle des distances de mise au point, qui fait défaut aux objectifs STM, ainsi que des repères de profondeur de champ pour f/11 et f/22.

Avec une bague de mise au point mécanique plutôt qu’électronique, la mise au point manuelle est disponible à tout moment, sans qu’il soit nécessaire d’activer le système de mise au point et de mesure de l’appareil.

Malheureusement, comme c’est le cas pour tous les objectifs à motorisation ultrasonique, la bague de mise au point manque de fluidité et la course entre la distance minimale et l’infini est un peu courte, ce qui ne facilite pas beaucoup la mise au point manuelle.

Sur un Canon plein format, cet objectif offre un bon piqué, les aberrations chromatiques sont très discrètes, mais bien présentes dans les coins les plus extrêmes des images, et ce, à toutes les ouvertures.

Sur un boîtier au format APS-C, vous avez un angle de vue plus adapté, et le facteur de recadrage coupe les coins du cadre, ce qui réduit les aberrations chromatiques, les distorsions et la baisse de piqué dans les coins.

Ce petit pancake Canon 24 mm EF-S 24 mm f/2,8 STM, en monture EF-S (donc uniquement pour capteur APS-C,) bénéficie d’une forme ultrafine avec un profondeur de seulement 23 mm.

L’objectif pèse environ 125 g pour une épaisseur d’à peine plus de 2 cm. Soit moins de la moitié du poids de l’EF 24 mm f/2,8 (plus conventionnel) de Canon pour ses reflex plein format.

Au programme on retrouve six éléments optiques dont un élément asphérique, des revêtements Super Spectra et un diaphragme à sept lamelles. L’autofocus est assuré par un moteur pas à pas rapide et silencieux, avec une bague de mise au point manuelle couplée électroniquement, malheureusement un peu petite et compliquée.

Cette optique de 24 mm monté sur un reflex équipé d’un capteur au format APS-C équivaut à 38,4 mm qui est une focale standard adaptée à la photo de tous les jours : reportage ou photo de rue, par exemple.

On note également l’absence de stabilisation optique, ce qui pourrait constituer un problème étant donné l’ouverture maximale relativement lente de f/2,8.

La qualité optique de ce 24 mm est un peu décevante. Les images produites sont loin d’être homogènes ; et on observe un fort écart de piqué entre le centre et les bords, et ce, même à des ouvertures relativement fermées : f/5,6 par exemple.

Au centre, les images sont très bien détaillées avec un piqué fort qui atteint son maximum entre f/4 et f/5,6. Au-delà de f/5,6, celui-ci commence à baisser et devient problématique dès f/11 (montée de la diffraction). Globalement, l’objectif donnera le meilleur de lui-même à f/5,6.

Cette focale de 22 mm devient un équivalent 35,2mm lorsqu’elle est montée sur un boîtier EOS M au format APS-C (grâce au facteur de recadrage 1,6x).

L’objectif offre le même champ de vision (63 degrés) qu’un objectif de 35 mm sur un appareil plein format, ce qui est parfait pour la photographie de rue.

Malgré une ouverture f/2 assez rapide, le design “pancake” lui permet d’être incroyablement petit et léger, avec seulement 61x24mm et 105g.

Compte tenu de la taille réduite des boîtiers EOS M, l’ensemble appareil photo et objectif est particulièrement discret. Le système autofocus STM (Stepping Motor) est rapide et très silencieux, et la mise au point manuelle bénéficie d’un affichage de l’échelle de distance, présent sur tous les appareils EOS M actuels.

L’élément asphérique présent dans la formule optique permet d’avoir une taille réduire, d’améliorer la qualité de l’image et de minimiser les aberrations sphériques.

Des revêtements Super Spectra sont également appliqués pour réduire les images fantômes et les reflets. La qualité de construction est bonne et, malgré la souplesse de l’objectif, la plaque de montage est en métal plutôt qu’en plastique.

Cet objectif ne dispose pas de stabilisation de l’image, il faudra donc avoir une main stable. si vous y parvenez, vous obtiendrez un piqué assez satisfaisant et une quasi absence des distorsions. Le vignettage est assez apparent à f/2, mais disparaît en grande partie lorsque l’on réduit la focale à f/2,8.

Samyang, le constructeur d’optique coréen, offre une gamme variée d’objectifs, bien que ces derniers soient totalement manuels.

La grande majorité d’entre eux n’intègre aucune électronique, exception faite de ce modèle qui dispose d’une électronique intégrée dans sa version “AE” en monture Canon, qui permet à la fois un contrôle de l’ouverture par l’appareil photo et le fonctionnement du témoin de mise au point.

Caractéristique des objectifs à mise au point manuelle, la bague de mise au point est large et sa course longue permet de définir précisément la zone de netteté.

La mise au point par zone est rendue possible grâce à l’échelle des distances de mise au point et l’échelle de profondeur de champ pour les ouvertures f/2,8, f/5,6, f/11, f/16 et f/22. C’est un véritable atout pour la photographie de rue, qui nécessite que l’on définisse la distance de mise au point avant la prise de vue.

La qualité de construction est de bon aloi, mais avec ses 83×110 mm et ses 700 g, c’est un objectif relativement long et lourd, principalement en raison de son ouverture rapide f/1.4.

La qualité d’image est mitigée, la bordure d’image semble un peu plus piquée que le centre. L’optique gagne rapidement en précision à f/2 pour atteindre son paroxysme à f/8. La précision diminue avec l’ouverture, la diffraction faisant son œuvre à partir de f/11.

Dans l’ensemble, ce Samyang dispose de plusieurs atouts pour jouer le rôle d’objectif à mise au point manuelle pour la photographie de rue, c’est une optique de qualité à prix imbattable

Les meilleurs objectifs Nikon pour la photo de rue

 

Malgré une ouverture maximale à f/1,8, ce 35 mm de la série Z de Nikon coûte un peu cher pour un objectif dédié à la photographie de rue. Par contre, il est beaucoup plus sophistiqué que l’AF-S 35mm f/1.8G ED à monture F de Nikon, grâce à onze lentilles réparties en neuf groupes.

Deux sont composées en verre ED, trois sont asphériques et un nombre non précisé est pourvu d’un traitement nanocristal. L’ensemble vise à réduire les aspects indésirables comme les aberrations chromatiques ou le flare, par exemple.

L’autofocus est assuré par un moteur pas à pas rapide et silencieux, et permet de passer la mise au point en mode manuel grâce à un seul contrôle présent sur le fût. Comme pour la plupart des objectifs à moteur pas à pas, il n’y a pas d’échelle des distances de mise au point.

Comme souvent, la pleine ouverture est à la traîne et manque de piqué. Pour corriger ce comportement, il faut fermer un petit peu le diaphragme. C’est “seulement” à partir de f/2,8 que la construction optique commence à révéler tout son potentiel.

Même si les bords sont en retrait à l’ouverture maximale, le piqué est finalement excellente. Pour tirer le meilleur de l’optique avec un rendu homogène, il faut l’utiliser entre f/5,6 et f/11. La diffraction finit par faire son apparition, mais l’ouverture minimale peut raisonnablement être employée.

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Avec une focale de 24 mm au lieu de 35 mm, cet objectif offre un champ de vision parfais pour traduire en image l’ambiance si particulière d’une artère urbaine.

Cet objectif est doté d’une motorisation HSM très performante, ainsi que des repères de profondeur de champ pour f/8 et f/16.

Il affiche une formule optique très ambitieuse, avec pas moins de 15 éléments répartis en 11 groupes. Cette optique a été conçue pour minimiser au maximum les aberrations, le coma sagittal, la distorsion et le vignetage. La seule chose qui manque, c’est la résistance aux intempéries.

Les performances sont excellentes, on observe un décalage dans le niveau de piqué entre le centre et les bords des images, mais ce dernier est modéré et s’amenuise à mesure que l’on ferme le diaphragme.

L’objectif procure le meilleur de lui-même au niveau du rendu des fins détails à f/5,6 et f/8. À la plus grande ouverture f/1,4, il est légèrement en retrait.

La diffraction est très discrète voir absente lorsque ce 24 mm est monté sur un reflex numérique Nikon au format DX où il offre une focale plus traditionnelle de 36 mm, excellente pour la photographie de rue.

Bien qu’un peu plus lent qu’un f/1.4 d’entrée de gamme, ce Tamron f/1.8 reste assez petit et léger, bien qu’à 480 g, il soit toujours plus lourd que le Nikon AFS 35 mm f/1.8G ED.

Dans l’univers des objectifs à monture F dédié à la photographie de rue, Ce Tamron est un phénomène rare. Il dispose d’une stabilisation optique, dont l’usage étend les possibilités en faibles conditions lumineuses et à main levée.

La qualité de fabrication est très bonne et n’a pas grand-chose à envier aux Sigma Art ou même aux Canon série L. L’objectif est conçu pour résister aux conditions extrêmes de prise de vue avec 5 joints d’étanchéité, un traitement eBand et BBAR et un revêtement fluorine.

Sa distance de mise au point courte lui permet d’amplifier le phénomène et de titiller le monde de la proxy photo.

L’autofocus et la mise au point manuelle fonctionnent très bien, même si l’échelle des distances de mise au point ne comporte pas de repères de profondeur de champ, ce qui rend impossible la mise au point par zone.

L’objectif offre un bon niveau de piqué et, surtout, une très bonne homogénéité. Il est vrai qu’à f/1,8, la plus grande ouverture, le niveau de piqué général est un peu en retrait comparé aux autres ouvertures, mais il a l’avantage d’être presque parfaitement homogène.

Ce Sigma est environ deux fois plus lourd que l’AF-S 35mm f/1.8G ED de Nikon, mais il bénéficie d’une excellente qualité de fabrication, même s’il est dommage que l’objectif ne soit pas tropicalisé. Comme tous les objectifs Art de Sigma, il est doté d’une motorisation ultrasonique USM, rapide et silencieuse.

La bague de mise au point manuelle est souple, large et l’on retrouve sur le dessus un indicateur de distance de mise au point. Malheureusement, les marqueurs de profondeur de champ ne sont disponibles que pour f/16, ce qui rend la mise au point par zone peu pratique.

La formule optique est constituée de deux éléments asphériques, un élément FLD (Fluorite-grade Low Dispersion) et quatre éléments SLD (Special Low Dispersion). Ils contribuent à produire une qualité d’image impeccable.

La qualité optique est bien au rendez-vous. L’objectif ne procure presque pas de distorsions et d’aberrations chromatiques. Le facteur de transmission est excellent, il y a donc un maximum de lumière qui traverse la lentille.

Petite déception au niveau du vignettage qui est assez présent et visible aux très grandes ouvertures. Il devient négligeable à partir de f/2,8.

Le piqué est parfaitement homogène même si on observe une légère baisse globale aux alentours de f/11. Aux grandes ouvertures (jusqu’à f/2,8), le piqué n’est pas homogène et baisse de manière significative en s’approchant des bords.

Mais ces défauts de piqués et de vignettage aux bords seront amoindris en utilisant un appareil équipé d’un capteur au format APS-C.

Cet objectif Samyang à mise au point manuelle est disponible en plusieurs montures (Nikon, Canon, Pentax, Sony), mais seules les optiques en monture Nikon disposent d’un contrôle de l’objectif via les molettes de réglage du boîtier et surtout d’une mesure automatique de la lumière en mode priorité vitesse et ouverture.

Du coup, la mise au point reste donc manuelle. La petite gymnastique n’est pas inintéressante, mais peut s’avérer un peu longue à mettre en œuvre dans certaines conditions. L’image dans le viseur s’assombrit progressivement à mesure que le réglage de l’ouverture se rétrécit.

Toutefois, la version “AE” disponible pour la monture F de Nikon permet de contrôler l’ouverture à partir de l’appareil photo et, par conséquent, de bénéficier d’une gamme complète de modes de prise de vue PASM. L’électronique gère également l’éclairage des témoins de mise au point dans le viseur.

La bague de mise au point est large et sa course longue permet de définir précisément la zone de netteté. La mise au point par zone est rendue possible par l’échelle de distance de mise au point et les marqueurs de profondeur de champ pour les ouvertures f/2,8, f/5,6, f/11, f/16 et f/22 – un vrai plus pour la photographie de rue.

Avec ses 660 g, le Samyang semble relativement lourd pour un objectif f/1.4,et les bords de l’image semblent un peu plus piqués que le centre. Mais en fermant un peu, l’optique gagne rapidement en précision pour atteindre son paroxysme à f/8.

Franchement visible à pleine ouverture, le vignetage s’estompe petit à petit en diaphragmant. Il faut toutefois atteindre f/4 pour que l’assombrissement des bords ne soit plus perceptible.

Bien que cet 24 mm soit compatible plein format, il dispose d’une focale « effective » de 36 mm lorsqu’il est utilisé sur un boîtier au format DX, ce qui le rend parfait pour les instantanés de rue.

La mise au point est uniquement manuelle, mais cette version Nikon F-mount est équipée d’un système électronique qui permet la prise de vue PASM avec contrôle de l’ouverture par l’appareil photo et l’éclairage des témoins de mise au point dans le viseur.

Bien que légèrement plus petit et plus léger que le Samyang 35mm f/1.4 AS UMC AE, le 24mm possède tout de même un élément optique supplémentaire, portant le total à 13.

Le 35 mm possède un élément asphérique en verre et deux éléments HR (indice de réfraction élevé), tandis que le 24 mm possède deux éléments asphériques et quatre éléments ED (dispersion ultra-faible). Les deux sont dotés du revêtement ultra-multicoating de Samyang pour réduire les images fantômes et les reflets.

La bague de mise au point permet des réglages doux et précis, avec des repères de profondeur de champ pour f/4, f/8, f/16 et f/22 sur l’échelle de distance de mise au point. Le piqué au centre est décevant à pleine ouverture, mais excellente lorsque l’on réduit un peu l’ouverture.

Comparé au nouveau 35 mm de la série Z de Nikon, cet objectif à monture F est plus petit, plus léger et beaucoup moins coûteux. Les deux objectifs ouvrent à f/1.8.

L’objectif dispose d’une motorisation ultrasonique USM rapide et silencieuse, d’un interrupteur pour basculer en mise au point manuelle ainsi que d’un indicateur de distance de mise au point. La formule optique comprend un élément asphérique, un élément ED (dispersion extra-faible) et un traitement super intégré.

Ce 35 mm dispose d’une très bonne qualité optique. Le piqué est fort et homogène dans l’ensemble sauf aux plus grandes ouvertures. En effet, en dessous de f/4, le piqué baisse à mesure que l’on s’éloigne du centre.

Bon point, les distorsions sont très discrètes et les aberrations chromatiques quasiment inexistantes. On regrette la présence d’un vignettage très marqué (plus de 1 Il) aux plus grandes ouvertures.

Ce Nikon, compatible plein format, lorsqu’il est monté sur un boîtier au format DX, offre un angle de champ pratiquement identique à celui d’un 35 mm.

Son ouverture maximale f/1,8 le rend sensiblement plus petit et plus léger qu’un f/1,4, mais au moins l’objectif dispose d’un joint d’étanchéité au niveau de la baïonnette.

Comparé au Nikon AF-S 35mm f/1.8G ED, ce 24mm propose une formule optique presque similaire avec 2 verres ED, 2 verres asphériques et un traitement Nano Crystal.

On retrouve également un diaphragme circulaire à 7 lamelles et une motorisation SWM. L’objectif pèse 355 g pour un encombrement d’un peu plus de 8 cm.

Les performances de ce 24 mm f/1,8 sont plus que nuancées. Le piqué monte à mesure que l’on ferme le diaphragme jusqu’à atteindre son maximum à l’ouverture limite de diffraction.

Bon point également pour les trois grandes zones des images (centre, 2/3 et bords extrêmes) qui évoluent de la même manière. Passé f/11, la diffraction fait son apparition, mais les images délivrées à f/16 sont encore tout à fait exploitables.

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Le problème majeur de cet objectif vient de ses performances plus que décevantes aux plus grandes ouvertures. À f/1,8 et f/2, les images délivrées sont d’une “mollesse” déconcertante. Il faut fermer à f/2,8 pour commencer à obtenir du piqué, principalement au centre.

Les meilleurs objectifs Sony pour la photo de rue

La plupart des zooms premium produit par Sony sont plutôt gros et lourds. Pour les photographes qui en ont assez de trimbaler ces optiques encombrantes, la société a commencé à produire une série de petits objectifs légers, celui-ci pourrait bien être le plus utile de tous.

Le Sony FE 40mm f/2.5 G offre une focale légèrement inférieure à la norme, ce qui est extrêmement utile pour la photographie de rue. Il s’agit d’un objectif G Master et, d’un point de vue optique, il est pratiquement irréprochable, avec un piqué incroyable sur toute la plage d’ouverture.

Cet objectif est parfait pour votre appareil photo Sony et très pratique pour de longues heures de promenade dans la rue. L’autofocus est suffisamment rapide et précis pour capturer à peu près tout.

Sony a fait un travail vraiment impressionnant ; tout photographe de rue utilisant un Alpha devrait certainement considérer cet objectif comme une priorité.

Le 35 mm f/2,8 pèse 120 g et mesure 36,5 mm d’épaisseur ; c’est donc un objectif très pratique et extrêmement facile à transporter. L’association avec les A7 est réussie, les ensembles sont bien équilibrés et permettent de disposer d’une configuration discrète.

Cette souplesse est rendue possible grâce à l’intégration de trois éléments asphériques dans la conception Zeiss Sonnar, ainsi que par une modeste ouverture f/2,8. L’objectif est également doté du légendaire traitement T*.

L’autofocus est basé sur un moteur linéaire rapide et silencieux, avec une bague de mise au point confortable à utiliser. Cependant elle ne dispose pas de butée ; il est donc impossible de savoir où est ce que l’on se trouve entre la mise au point minimale et l’infini. Bien entendu, aucun repère de distance de mise au point n’est visible.

Le minuscule Sony est très performant en termes de qualité d’image, même si le vignettage est assez important à f/2,8. Le piqué très impressionnant au centre, le devient moins lorsqu’on se rapproche des bords. La distorsion est très discrète, mais bien visible et un vignetage très marqué surtout aux plus grandes ouvertures.

Sigma nous a gâtés récemment avec des objectifs 35 mm rapides et de grande taille, notamment l’excellent 35 mm f/1.4 DG HSM Art et le monstrueux 35 mm f/1.2 DG DN Art.

Le nouveau Sigma 35mm f/2 DG DN Contemporary, comme son nom l’indique, fait partie de la gamme “Contemporaine” de la société et présente une construction plus compacte et plus légère.

Avec un poids de 325 g, il est toujours doté d’un boîtier entièrement métallique (et d’un beau pare-soleil en métal), tandis que la bague d’ouvertures offre une alternative très douce pour les prises de vue en mode manuel ou avec priorité à l’ouverture.

La mise au point est rapide et pratiquement silencieuse, tandis que le piqué est très bon dans l’ensemble lors de la prise de vue à grande ouverture.

L’ouverture maximale f/2 n’est peut-être pas aussi impressionnante que celle des objectifs plus rapides, mais c’est un excellent petit objectif pour prendre des photos du quotidien.

Comparé au poids plume du 35 mm f/2,8 ZA de Sony, ce Sigma est plus de cinq fois plus lourd et presque trois fois plus long. Comme la plupart des objectifs Art de Sigma, ce dernier est doté d’une motorisation ultrasonique USM, rapide et silencieuse.

La bague de mise au point manuelle est souple, large et l’on retrouve sur le dessus un indicateur de distance de point.

La formule optique intègre deux éléments asphériques, un élément FLD (Fluorite-grade Low Dispersion) et quatre éléments SLD (Spécial Low Dispersion). La qualité de fabrication est excellente, bien que l’objectif ne soit pas tropicalisé.

Le Sigma est très piqué. Aux grandes ouvertures (jusqu’à f/2,8), le piqué n’est pas homogène et baisse de manière significative en s’approchant des bords. Au-delà, il est parfaitement homogène même si on observe une légère baisse globale aux alentours de f/11.

Quoi qu’il en soit ces défauts de piqués et de vignettage seront amoindris en utilisant un appareil équipé d’un capteur au format APS-C.

Ce nouveau 35 mm f/1,4 dispose d’une excellente qualité optique, d’un confort d’utilisation optimal et d’une qualité de construction presque irréprochable.

On retrouve le Samyang 35mm sous différentes montures, mais pour le moment, seules les optiques en monture Nikon disposent d’un contrôle de l’objectif via les molettes de réglage du boîtier et surtout d’une mesure automatique de la lumière en mode priorité vitesse et ouverture.

Les versions à monture Canon et Nikon permettent une communication avec le boîtier, mais la version Sony E est encore plus basique, le réglage de l’ouverture se fait uniquement à l’aide de la bague d’ouverture.

La bague de mise au point est large et sa course longue permet de définir précisément la zone de netteté. La mise au point par zone est rendue possible grâce à la présence d’une échelle des distances de mise au point et d’une échelle de profondeur de champ pour les ouvertures f/2,8, f/5,6, f/11, f/16 et f/22. C’est un véritable atout pour la photographie de rue, qui nécessite une définition de la distance de mise au point avant la prise de vue.

Comparé aux autres objectif f/1.4, le Samyang est relativement long et lourd, mais à la pleine ouverture le piqué au centre et sur les bords est un peu mou. En fermant de deux crans, le saut qualitatif est remarquable. Dès f/1,8, le centre devient très bon, pour être tout à fait excellent à f/2,8. De plus, le piqué est homogène sur l’ensemble du champ.

Si vous désirez revenir à l’essentiel et prendre des photos entièrement manuelles dans la rue, c’est l’objectif qu’il vous faut.

Jusqu’à récemment, les utilisateurs de Sony devaient choisir entre le Zeiss Distagon FE 35mm f/1.4 ZA – un objectif cher et haut de gamme – et l’ancien Zeiss 35mm f/2.8 (voir ci-dessus) s’ils voulaient une perspective 35mm sur un appareil photo à monture E. Le FE 35mm f/1.8 s’insère parfaitement entre les deux et offre un excellent mélange de compacité et de luminosité.

Son poids de seulement 280 g est assurément un des atouts de ce Sony FE 35mm f/1.8. Associé à un des hybrides de la gamme A7, eux aussi reconnus pour leur souplesse, il est un compagnon de tous les jours particulièrement discret et agréable.

La présence de joint d’étanchéité, au niveau des zones de rotations du fût ainsi qu’au niveau de ses touches lui assure une bonne résistance à la poussière et à l’humidité.

À pleine ouverture, le piqué au centre n’est pas très élevé, mais l’objectif affiche une bonne homogénéité et les résultats restent néanmoins acceptables.

Au fur et à mesure que l’on ferme le diaphragme, le piqué au centre progresse rapidement pour atteindre son maximum dès f/4 avec une bonne constance jusqu’à f/11 et des résultats encore parfaitement exploitables à f/16 où la diffraction reste très faible. On évitera en revanche la position maximale à f/22.

Les côtés et les coins de l’image progressent un peu moins vite que le centre, mais là aussi le piqué s’améliore à un bon niveau au fur et à mesure que l’on ferme le diaphragme. C’est beaucoup mieux que le Samyang FE 35mm f/1,4, mais sur ce point, le Sigma FE 35mm f/1,4 DG HSM Art affiche toujours une meilleure homogénéité.

Sa grande ouverture est également une de ses forces. Elle permet de générer un joli bokeh dont nous avons pu apprécier l’absence de déformation.

Cette optique affiche de belles performances optiques et s’avère être un choix intéressant pour les utilisateurs d’Alpha A7 et A9 qui recherchent un objectif à focale fixe compact et précis, sans toutefois se faire ruiner avec l’une des optiques G Master de Sony.

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